la bienveillance
Il est où le Bonheur

Vers un monde plus bienveillant

Vers un monde plus bienveillant de Charlie Bregman. Auteur de plusieurs livres à succès, Charlie ne cesse de « décortiquer » nos émotions et nos sentiments.

Mais qui est Charlie Bregman ?

Auteur de plusieurs livres à succès, Charlie n’en est pas moins un « humaniste » qui ne cesse de « décortiquer » nos émotions, nos actes, nos attitudes, nos sentiments… qui affectent particulièrement nos vies.

Aujourd’hui, nous avons rendez-vous avec lui en exclusivité, pour une immersion dans la bienveillance. Où en sommes-nous avec cette dernière ? Qu’en pense-t-il lui-même ? Pourquoi un livre sur ce sujet ?

Autant de questions que nous allons aborder tout de suite avec lui…

Bonjour Charlie. Peux-tu nous parler un peu de toi ?

Je m’appelle Charlie Bregman. Mes parents ne m’ont jamais appelé comme ça. Ce nom, c’est moi qui me le suis créé il y a maintenant douze ans. Pour écrire d’abord sur un blog, et puis finalement pour écrire des livres.

À travers ce pseudonyme, j’expérimente la pleine liberté, le terrain vaste de la « zéro contrainte sociale », et donc l’angoisse de la page blanche qui peut parfois y être liée, ou même son inverse bourreau, encore pire, qui consiste à ne plus savoir dans quelle direction avancer en premier d’avoir toute l’immensité à raconter.

Des livres positifs

Vivement l'Amour de Charlie Bregman
Vivement l’Amour de Charlie Bregman

J’ai fait le choix il y a quelques années de me contenter d’écrire des livres positifs. J’ai commencé par un roman dont le but affirmé était de (re)donner le sourire à ceux qui le liraient (Vivement l’amour), puis j’ai continué par écrire des guides pratiques sur l’écriture, l’auto-édition et le formatage numérique, et j’avais même commencé une gamme de développement personnel avant de me heurter moi-même à la difficulté du troisième volet qui consistait à « sortir de sa zone de confort ».

Pour moi, la zone de confort, c’est la zone de nos souffrances acceptées. C’est le cocon de nos renoncements, la prison dorée des peurs auxquelles nous avons donné les pleins pouvoirs, et donc l’illusion d’un bien-être fait de mensonges, de compromis et de raison.

Je n’ai jamais été un homme de raison. Je n’ai jamais réussi à me contenter de cette arête accessible de la montagne de nos vies.

La raison implique la suprématie du raisonnable

Être raisonnable, c’est renoncer. Et renoncer, parfois, c’est aller jusqu’à tirer un trait sur des valeurs personnelles qui nous semblaient pourtant fondamentales.

Parmi ces valeurs, il y a celle de la bienveillance.

Un monde sans bienveillance

Je trouve que notre monde manque désespérément de bienveillance

Notre conscience collective manque de bienveillance vis-à-vis de notre belle planète, de son environnement et de sa biodiversité, mais aussi vis-à-vis des êtres individuels que nous sommes.

Les êtres individuels que nous sommes manquent de bienveillance les uns vis-à-vis des autres, et dans ces rapports plus ou moins agressifs ou maladroits, moi, avec toutes les meilleures intentions et attentions du monde, j’ai souvent manqué de bienveillance également.

Comme s’il s’agissait d’une malédiction. Comme si on était toujours trop cons pour juger les autres plus cons que soi, et comme si rien ne pouvait nous empêcher de toujours demeurer le con d’un autre malgré toutes nos aptitudes à écouter, aider, accompagner, protéger, nourrir, guider, soigner et pardonner.

Où en sommes-nous avec la bienveillance ?

Ce livre Sourire aux coqs, pardonner aux ânes, et rester zèbre ! est un assortiment de textes de fiction, destiné à faire état de nos défauts de bienveillance tout comme de nos besoins de bienveillance.

Sourire aux coqs, pardonner aux ânes et rester zèbre ! de Charlie Bregman

Les bases de tous nos choix de raison

L'envers de nos vies de Charlie Bregman
L’envers de nos vies de Charlie Bregman

Il fait suite, à sa manière, à un précédent recueil de nouvelles (L’envers de nos vies) qui avait pour objet de retranscrire l’essence de neuf états émotionnels différents, que je considère comme étant à la base de tous nos choix de raison.

Car l’émotion est supérieure à la raison.

On ne se range pas de la même manière dans le raisonnable selon si l’on se sent triste et découragé, ou bien excité et porté par un projet qui nous tient à cœur.

L’émotion influence la raison.

Tout comme la raison influence le choix de la bienveillance ou du renoncement à faire acte de bienveillance.

En essayant de tirer un apprentissage de la vie que j’ai traversée jusqu’à présent (j’aurai 45 ans l’année prochaine), je me suis dit que le fait de devoir se conformer aux attentes de la société, et donc de devoir parfois contribuer à l’édification des rêves plus immatures (j’entends par « immature » le fait qu’ils constituent un poison plus ou moins violent pour l’humain tout comme pour la planète) de certaines personnes qui se sont octroyées un certain pouvoir sur nous, de par leur position sociale ou hiérarchique, nous poussait vers trois types de réactions instinctives :

  • nous comporter comme des coqs, trop obnubilés par l’image que l’on renvoie aux autres pour rester à l’écoute de leurs besoins d’amour et de reconnaissance
  • nous comporter comme des ânes, bien maladroits de ne pas savoir comprendre le besoin d’amour et de reconnaissance qui se dissimule parfois derrière des paroles ou des comportements désespérément nuisibles et dévastateurs
  • et puis finalement, nous comporter comme des « zèbres » (qui sont des animaux impossibles à domestiquer), et donc des marginaux, des non-conformistes, des rebelles, des agitateurs, des perturbateurs « endocrhumains », définitivement arrimés à leur rêve d’un monde meilleur, plus juste, plus libre, plus respectueux et donc plus bienveillant au sens large.

Le pouvoir du libre-arbitre

Au final, j’ai compris que la bienveillance est aujourd’hui un véritable échec social, et qu’on ne peut la réhabiliter qu’à travers une meilleure prise de conscience du vrai pouvoir qu’est notre libre-arbitre.

Collaborer à un monde qui crée de la souffrance, ou y résister chacun à notre niveau… afin d’y créer librement de l’amour, de la paix, et si possible y rétablir progressivement une bonne part d’eau plus pure et plus fraiche.

@Charlie Bregman

Tous les écrits, les contributions à certains débats, et les avis des lecteurs de Charlie Bregman sont regroupés sur ce site :

https://charlie-bregman.iggybook.com

La majorité des livres de Charlie sont disponibles aux formats numériques et papier.

Biographie de l’auteur

Après un long parcours effectué dans le domaine de l’architecture, au cours duquel de nombreux obstacles ont constitué pour lui un véritable trop-plein vis-à-vis d’une société qu’il considère comme étant profondément empêtrée dans ses paradoxes législatifs, Charlie Bregman écrit des livres destinés à explorer d’autres manières de vivre plus heureux et ensemble.

Ce qu’en disent les lecteurs

« Une écriture fine et sensible, qui nous transporte du rire aux larmes. » (Kindle Reader)

Citation

Dans un monde dans lequel c’est une preuve de lucidité que de tout voir en noir, la grande audace est de s’évertuer à rallumer des étincelles.

Avec tous mes remerciements Charlie et prends bien soin de toi comme tu prends soin des autres !

Vous en pensez quoi, vous ? Laissez-nous un petit commentaire!